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Ce témoignage est celui de Mme Ouattara, ex-musulmane, qui a eu la grâce d’être visitée par le Seigneur Jésus Christ et qui a pu avoir 15 enfants sans trompe. Le Seigneur s’est aussi servi d’elle pour opérer trois cas de résurrection.
Ce témoignage est en 4 parties à lire absolument !
Gloire à Jésus ! Que le seigneur vous bénisse. Nous avons passé un bon moment à l’écoute de la parole de Dieu et nous avons été bien nourris. Et je crois que cela a été votre cas aussi. Vous avez été bien nourris avec ce repas. Il convient de vous parler aussi de la foi. Je veux vous dire bien-aimé de soutenir cette parole que nous avons entendue ce matin avec la foi, avec ta foi. Nous avons tous reçu des prières ce matin. Mais pour vivre l’effectivité de la délivrance par ces prières dans nos vies, il nous faut la foi. Ceux qui ont prié pour nous ont la foi et ils ne peuvent nous communiquer que ce qu’ils ont, c’est-à-dire la foi. Que Dieu bénisse ses Serviteurs.
1/ Une maladie étrange
Je suis madame Ouattara, je suis d’origine musulmane. Je suis ivoirienne. J’ai fait l’islam parce que mes parents sont musulmans et ce sont eux qui m’y ont initiée. Ne connaissant pas le Seigneur, ma vie dans cette religion ne fut pas facile parce que j’étais malade. Le mal dont je souffrais était un mal de ventre. J’ai été traité à l’indigénat (médecine traditionnelle africaine). Il faut dire qu’à notre époque, nos parents n’aimaient pas se rendre dans les hôpitaux quand ils souffraient de maladies. Je veux parler des musulmans, des dioulas. Je ne parle pas des musulmans ou dioulas de nos jours. J’ai quitté tout cela il y a longtemps et je ne sais pas comment cela se passe aujourd’hui mais telle était la pratique à notre époque. Et c’est dans cette vie que je me suis mariée.
2/ Mon mariage
J’ai épousé un homme que je ne connaissais pas, que je n’avais jamais vu et de qui je n’avais jamais entendu parler. C’était un mariage imposé, mais l’obéissance dans l’islam nous impose d’entrer sans broncher dans ce genre de mariage et c’est ainsi que je me suis engagée dans ce mariage. C’est le jour du mariage, après la célébration que j’ai vu pour la première fois l’homme que je venais d’épouser. Mais je crois que cela est une grâce. J’ai alors appris à l’aimer et à le servir. Et étant dans l’islam, j’occupais une grande responsabilité parmi les sœurs musulmanes. J’étais à la mosquée d’Adjamé, la grande mosquée actuelle et j’y ai servi. C’est de là-bas que je suis entrée dans le foyer de mon tonton Ouattara. Je ne sais pas comment vous appelez vos époux. Notre maman (la femme du pasteur) appelle le sien chéri. Je veux croire que vous agissez pareillement dans vos foyers, c’est une recommandation. Sara notre mère à toutes l’a fait à l’égard d’Abraham et je crois que vous pouvez y arriver. Malheureusement les femmes chrétiennes au foyer de nos jours appellent leur mari par divers noms mais il suffit qu’il y ait des mésententes ou incompréhensions dans le foyer pour qu’elles reprennent à les appeler par le nom qui figure sur leur carte d’identité.
Pour moi, je suis restée soumise et obéissante à mon époux jusqu’à ce jour. Et je suis toujours à son service. Je prie que ce soit le cas pour vous également. Que vous soyez soumises et obéissantes et cela à cause du Seigneur surtout. Cela afin que votre conjoint soit heureux à vos cotés. On ne se marie pas pour être heureux mais plutôt pour rendre celui qui est à nos côtés heureux. C’est cette vie que je vis dans mon foyer jusqu’à ce jour. Vous, vous avez souvent l’occasion de rencontrer vos futurs époux avant le mariage, d’apprendre à les aimer avant d’entrer dans le foyer. Pour moi cela fut tout autre. Ce n’est que le jour d’après la célébration, lorsque je suis entrée dans son foyer que j’ai pu échanger avec lui. On m’a dit voici ton époux et moi je l’ai salué en disant ‘’bonjour tonton’’ car dans l’islam il est déplacé d’appeler son époux par son prénom. Et moi j’ai retenu ce nom pour mon époux jusqu’à aujourd’hui.
Plus tard dans le foyer, lorsque mon époux entre du travail, j’attends qu’il s’asseye, je lui sert à boire et ensuite l’aide à se déchausser pour le mettre à l’air libre. Malheureusement, cela n’est pas toujours le cas dans les foyers chrétiens. Certaines sœurs trouvent que si leurs époux ont pu porter leurs chaussures tout seul, ils sont à même de les enlever sans aucune aide. Gloire à Jésus ! C’est comme cela que je suis restée à son service. C’est une tradition chez les femmes musulmanes. Elles sont tenues d’être au service de leurs époux même dans les périodes difficiles sans se rebeller. Tu me diras certainement que tu exerces une activité et qu’une fois à la maison ton époux a fini toutes ces choses (boire de l’eau, se débarbouiller et porter d’autres vêtements). Mais même si c’est le cas, ton rôle est de t’approcher de lui, de lui demander comment s’est passé sa journée et autres. De lui proposer à boire de l’eau etc… Jésus est vivant ! Toutes ces choses se sont passées dans ma vie païenne.
Mes souffrances dans le mariage
Le temps a passé et un jour mon ‘’tonton’’ m’a appelée et m’a demandé ce qui n’allait pas chez moi. Je n’ai rien compris à sa question mais je suis restée là à l’écouter. Lorsqu’il a fini de parler et que je devais lui répondre, je lui ai seulement dit ‘’tonton, chez moi tout va bien’’. Il m’a donc dit que si tout allait bien, pourquoi est-ce que jusqu’à ce jour je suis restée la même c’est-à-dire sans être enceinte. J’ai alors compris que c’était une plainte qu’il m’adressait. Avant de me faire cet reproche, il m’a d’abord demandé depuis combien de temps j’étais sous son toit. J’ai calculé et j’ai reconnu que cela faisait deux ans que j’étais sous son toit. Je lui ai donc répondu avec respect et sourire que cela faisait deux ans. La bible nous dit dans Prov. 15 : 1 que ‘’une réponse douce calme la fureur, mais une parole dure excite la colère’’. Je ne connaissais pas encore le Seigneur pour savoir ces choses, mais seulement je lui ai répondu avec douceur et respect. Cette réponse l’a apaisé.
Malheureusement, malgré toutes les exhortations, les prières et intercessions pour les couples chrétiens dans l’église, il n’y a pas de douceur en parole, point de douces paroles. Vous avez opté pour un don, un talent : parler mal (parler avec animosité, colère, mépris etc…). Vous savez très bien exhorter dehors mais à la maison c’est le feu. Vous avez changé dans vos habitudes ce langage populaire qui dit que la charité bien ordonné commence par soi-même. Vous vous dites non, plutôt par les autres. Puisse Dieu vous en délivrer au nom de Jésus ! Alléluia ! J’ai encore dit à mon époux que si cela tardait, c’était certainement lié au problème de ventre que j’avais. Cette réponse l’a calmé et il m’a dit que si tel était le cas, il allait me faire suivre à nouveau des soins. Les soins dont il était question étaient de retourner à nouveau chez les marabouts et féticheurs. Nous avons suivi cela sans succès et nous ne savions toujours pas l’origine du mal. La joie a commencé a manqué petit à petit dans le foyer. Peut-être était-il patient mais les questions ont commencé à pleuvoir de part et d’autres. La belle famille, les parents, les amis l’interrogeaient, mais il restait sans réponse à leur donner. C’est à moi alors qu’il pouvait poser ces questions pour espérer avoir des réponses concrètes. Bien-aimée, si ton époux entre un jour à la maison et qu’il t’adresse des paroles dures, ne te met pas en colère mais supporte cela avec patience. Je veux vous dire qu’il ne peut agir de la sorte avec la femme d’autrui si ce n’est qu’avec vous qui êtes une aide dans le foyer pour lui.
Nous sommes restés dans ces soins traditionnels pendant deux ans et cela nous a conduits dans notre quatrième année de mariage. Après cela, mon époux a jugé bon de me conduire à l’hôpital pour recevoir d’autres soins. Nous avons rencontré un premier médecin. Il m’a posé des questions concernant les menstrues des femmes, je ne savais quoi répondre. Il m’a dit ‘’ce que les femmes ont chaque mois là, quand ça vient c’est comment ?’’ Je n’ai su que répondre. Je lui ai même demandé de savoir si je devais en avoir aussi. Il m’a répondu oui. Dans ma famille, ces sujets étaient tabous et mes grandes sœurs ne m’ont jamais parlé de ces choses. Si j’avais été à l’école, je l’aurais certainement su mais je n’ai pas pu être scolarisé. C’est une grâce, je crois. Je le dis parce que si j’avais été scolarisé et pleine de connaissances, cela ne m’aurait peut-être pas permis d’accepter le Seigneur Jésus. Le fait même de me voir lire et écrire et me tenir devant vous pour pouvoir m’exprimer ainsi est une grâce du Seigneur. Le premier médecin m’a alors expliqué cela et a suggéré que nous fassions des examens pour voir de plus près le mal. Nous avons fait des examens, des échographies.
Après cela le médecin nous dit que chaque femme devrait avoir normalement deux trompes. Mais il pouvait arriver des cas où des femmes n’avaient qu’une seule soit par opération ou par maladie. Cependant, si cette seule trompe se portait bien, elle pouvait avoir des enfants. Mais dans mon cas, il a été constaté que je n’avais aucune trompe. Il nous dit que cela dépassait ses compétences et qu’il ne connaissait pas de médicaments à même de faire pousser des trompes. Une fois à la maison, il a dit que certainement ce médecin ne connaissait pas bien son travail. Il m’a donc conduit chez d’autres médecins. Nous en avons vu un second puis un troisième. Ce fut les mêmes résultats. En sortant des locaux du troisième médecin il m’a demandé de quelle planète je venais pour ne pas avoir de trompe en tant que femme. Je lui ai juste répondu ‘’je ne sais pas tonton’’. Une fois à la maison, il est entré en colère. Il était très furieux. Je crois qu’il a raison.
Cela fait plus de trois ans qu’il rempli convenablement son devoir d’époux sans avoir d’enfant. Il ne voulait pas de lui-même me renvoyer du foyer mais il a commencé à agir avec beaucoup de méchancetés et malices à mon égard pour me pousser à la colère et une fois en colère, je quitterais de moi-même le foyer. Il a commencé par ne plus répondre à mes salutations. Le matin, avant qu’il ne parte au boulot, je lui adressais une salutation. Et il me demandait si me saluer était une dette pour lui. Le soir à son retour du boulot, c’était la même chose. Mais je continuais toujours de le saluer sans me laisser décourager ou énerver. Car cela était mon devoir en tant que femme de le faire. Bien-aimée sœur, peut-être qu’à la maison ton époux ne t’adresse plus la salutation, il faut toi, continuer à le faire. Peut-être n’avais-tu jamais appris à le faire ; au sortir d’ici de ce programme apprends à le faire. Alléluia ! Ayant vu que cela ne donnait pas les résultats escomptés, il est passé à autre chose.
Bien que ne répondant pas à mes salutations, il continuait de prendre les repas que je lui présentais jusqu’à ce qu’un jour il renverse à la poubelle le repas que je venais de lui faire. Après l’avoir fait, il est venu vers moi dans le salon où je l’attendais et m’a demandé ce que je pensais du fait qu’il ait renversé ma nourriture à la poubelle. Si je ne lui donnais pas de réponse, il dirait que je lui manque de respect et si je répondais dans la colère, le prétexte de femme insoumise était tout trouvé pour me vider de son foyer. Il était déjà sur les nerfs. J’ai alors trouvé une réponse avec respect et le sourire aux lèvres. Il fallait sourire pour le détendre parce qu’il était déjà énervé. Je lui ai donc dit qu’il avait bien fait d’agir ainsi et que certainement que le repas n’était pas bon. Alléluia ! Cette réponse l’a brisé. Quel aurait été l’attitude de ma sœur chrétienne ? Elle aurait certainement utilisé son talent d’aspic à la bouche, serait entrée dans des calculs concernant l’amour et la douleur consentis pour faire ce repas. Elle aurait demandé à son époux pourquoi est-ce qu’il avait renversé le repas que j’avais fait avec tant de souffrance et d’amour. Après cela, il a commencé a cassé toutes les assiettes de la maison. Et chaque fois, il prenait le soin de me demander ce que j’en pensais. Et à moi de lui répondre qu’il avait bien agi. Et que ces assiettes avaient longtemps duré dans la maison et qu’il fallait que je les change. Chaque fois, mon attitude dans toutes ses provocations le confondait. Après cela, il a jugé bon de venir avec des femmes à la maison et avoir des relations avec elles sous mon nez. Je n’entrerai pas ici trop dans les détails.
Quand il arrivait avec une femme, il prenait le soin de faire la présentation. Je dirai sur ce coup là qu’il est néanmoins gentil. Il dit à sa copine d’un jour que je suis sa servante. Et quand à moi, il n’osait même plus prononcer du fait de sa colère mon prénom (Maï diminutif de MaÏmouna). Il m’appelait désormais ‘’oh oh’’. Et moi je lui répondais toujours avec amour. Puis il me dit voici ma chérie. Ensuite, ils vont tous deux dans la chambre, notre chambre conjugale pendant qu’il y avait plusieurs chambres dans la maison. Et une fois là-bas, pendant que mon époux Ouattara traversait la frontière (couchait avec sa copine d’un soir), il demandait à ce que j’apporte de l’eau à sa copine afin qu’elle se désaltère. Ce que je me mettais à exécuter aussitôt, puis retournais attendre dans le salon au cas où ils auraient encore besoin de mes services. Je disais dans mon cœur, au moins je suis utile à quelque chose maintenant. Est-ce qu’on peut se mettre en colère pour de telles actions de son époux ?
Et après cela mon époux a trouvé que cela n’était pas suffisant. Un jour ma belle-maman est venue à la maison et m’a fait remarquer que ce sont eux qui m’ont choisie pour être l’épouse de leur fils. Et comme je m’obstinais à rester au foyer malgré toutes ces choses, elle allait m’en faire voir de toutes les couleurs. Un jour, elle m’a demandé de lui faire du to (nourriture du nord de la Côte d’Ivoire). Pour le faire, surtout quand c’est le to blanc, nous faisions d’abord une première bouillie. Comme nous étions toutes deux dans la cuisine, elle m’a donné dos, a pris un gobelet de cette bouillie et l’a renversé sur ma personne. Ce sont les traces de cet accident qui sont encore visibles sur mon épaule et mon dos. Je crois que cette maman m’aimait et voulais que je fasse des enfants à son fils. Chose que je n’arrivais jusque là à satisfaire du fait de mon mal. C’était donc pour elle le seul moyen de manifester à mon égard sa colère. Je n’ai pas pris cet acte en mal. C’est ma voisine qui ayant entendu mes cris est venue et m’a conduite à l’hôpital pour que je reçoive les soins. Elle a voulu que je porte plainte à la gendarmerie contre ma belle maman, mais j’ai refusé d’agir ainsi. Je lui ai dit que cette dame m’aimait mais que j’avais moi, un problème. Et que c’est ce qui l’amenait à agir de la sorte à mon égard. Une fois à l’hôpital, les médecins m’ont dit que c’était des brûlures de troisième degré. On m’a attaché l’épaule avec le cou pour que cela puisse tenir. Heureusement, grâce à Dieu qu’il y avait dans le ciel le médecin par excellence, Jésus-Christ.
Après toutes ces choses, ils ont jugé bon de me laisser seule dans le foyer. Mon époux est parti me laissant toute seule au foyer. Or, Dieu voyait toutes ces choses que je vivais. Seulement, il attendait le jour de mon jour. Car chaque chose a son temps devant Dieu. Lorsqu’ils m’ont abandonnée toute seule à la maison, j’étais livrée chaque jour aux railleries et moqueries de mon voisinage, mes parents, amis et autres. Tous parlaient sur ma condition. Personne ne s’approchait de moi pour savoir quoi que ce soit. On me traitait de sorcière, d’avoir un ventre en béton. D’autres disaient que c’est parce que j’étais courte que je n’arrivais pas à avoir des enfants. On m’avait même trouvé un nom en langue malinké qui disait » tchè tè mousso tè’’. Ce qui signifie ‘’ni homme ni femme’’. Mon devoir était d’accepter et de supporter toutes ces choses. Ce n’était pas leur faute et je ne leur en voulais pas pour toutes ces injures.
C’est dans toute cette souffrance, abandonnée, méprisée et rejetée par tous, que Dieu va intervenir dans ma vie.
3/ Ma rencontre avec le Seigneur Jésus-Christ
Etant enfermée dans la maison, je n’arrivais pas à dormir. Un jour je me suis endormie et pendant mon sommeil j’ai entendu une voix. J’ai cru que c’était un rêve. Cette voix s’est faite entendre et disait ‘’ma fille Hélène, j’ai entendu tes pleurs et je suis venu à ton secours’’. Cette voix a insisté jusqu’à ce que je me réveille. Et lorsque je me suis réveillée, ce n’était pas un rêve. Ma chambre était pleine de lumière. Cette lumière n’avait rien à avoir avec celles que donnent les ampoules. Je me suis assise et il y avait dans cette lumière une personne qui a, à nouveau pris la parole et dit : ‘’ma fille Hélène, j’ai entendu tes pleurs et je suis venu à ton secours’’. J’étais terrifiée et j’ai demandé à celui qui me parlait qui il était. Il a repris la parole une deuxième fois en répétant les mêmes paroles. ‘’Ma fille Hélène, j’ai entendu tes pleurs et je suis venu te délivrer’’ Puis il ajouta cette fois ci : ‘’Je suis l’Eternel ton Dieu’’.
Dans l’islam nous ne connaissons pas toutes ces choses. Tout ce que nous connaissons, c’est Allah ou Mahomet. Et le nom de Mahomet est tellement honoré qu’on n’a peur de le prononcer en vain ou qu’on ne le prononce pratiquement pas. Cela n’est guère le cas dans le milieu chrétien, où l’on prononce le nom du Seigneur en vain pour des futilités. Nous sommes en chemin pour un lieu et nos pieds heurtent une pierre, on s’écrie Jésus ! Une pierre nous heurte, encore Jésus ! Nous sommes assis devant notre télévision entrain suivre un match de football, nous prononçons là encore le nom de Jésus. Cependant, notre Dieu voudrait que nous l’employions pour des causes utiles et édifiantes. Il nous dit invoque moi au jour de ta détresse et je te répondrai.
3/ Ma rencontre avec le Seigneur Jésus-Christ (suite)
Apprenons frères et sœurs à honorer ce beau et grand nom au dessus de tout nom. Il me parla à nouveau d’une voix très douce. Et cette voix me pénétrait profondément le cœur. Continuant dans mes pleurs, je lui ai demandé qui il était et que je ne le connaissais pas. Gloire à Dieu ! Cette scène s’est produite trois fois et c’est lors de la deuxième expérience qu’il a donné la précision sur sa personne. J’étais terrifiée et j’ai décidé de quitter la maison car je pensais que c’était l’esprit d’un des nombreux marabouts que nous avions, mon époux et moi consulté pour mon problème de santé qui venait perturber et troubler mes nuits. J’ai dit après la deuxième fois que si cela se répétait, je quitterais la maison. J’avais même fait mes bagages. Cependant je ne savais où aller, vers qui me tourner pour expliquer ces évènements étranges que je vivais. Le troisième jour, la même personne est revenue et m’a encore parlé. Cette fois, il y avait un changement dans mon attitude. J’ai résolu en mon cœur de voir la personne qui me parlait pour être à même de donner des réponses concrètes aux uns et aux autres lorsqu’on me questionnerait après que j’ai eu à leur expliquer ce qui m’était arrivé. J’ai voulu voir son visage dans un premier temps, mais en vain. La lumière qui émanait de lui était tellement forte que je ne pouvais y parvenir. J’ai ensuite essayé de voir ses pieds. Là encore, ce fut peine perdue. La lumière m’empêchait toujours d’arriver à mes fins. Ce que je remarquais alors était que cette personne était vêtue d’une longue robe blanche et très fine. Je me suis dit en moi-même ‘’n’a-t-il point de membres cet homme qui me parle ?’’.
Je continuais toujours dans mes pleurs. Il prit la parole et me dit : ‘’ma fille Hélène, j’ai entendu tes pleurs et je suis venu à ton secours. Je suis l’Eternel des armées. Dis Jésus ! Jésus ! Jésus !’’ Il prononça ce nom trois fois. J’ai alors dit en moi-même que s’il me demandait de prononcer ce nom, certainement cela était son nom. J’ai donc résolu de le faire dans l’espoir de le voir me quitter et avoir la paix. J’ai essayé de prononcer ce nom sans y parvenir dans un premier temps. Je crois que ce Nom n’est pas un nom vain. Le prononcer simplement a une très grande portée spirituelle. J’ai essayé une fois de plus de voir son visage sans y parvenir à nouveau. Tout ce que j’ai pu voir c’était une couronne et du sang qui coulait de toutes parts. J’ai alors dit monsieur s’il vous plait, je ne vous connais pas et voici vous arrivez chez moi en sang. J’ai déjà assez de problèmes pour pouvoir porter sur moi les vôtres.
C’est à la suite de cela qu’il me demanda de prononcer le nom Jésus ! Je l’ai alors fait et voici un vent doux et léger que je ne saurais qualifier a rempli toute ma chambre. Ce vent, cette fraicheur était plus douce que celle d’un climatiseur. Elle m’a touchée et j’ai sentie un poids quitter ma personne. Je me suis senti tellement légère d’un coup que j’ai même failli tomber. Je me suis alors agrippée sur le bord du lit et ai continué à prononcer le nom de Jésus. En lieu et place de l’angoisse et des pleurs, j’ai ressenti une joie que je n’avais jusque là jamais ressentie dans ma vie au service de l’islam. Alléluia, gloire à Jésus ! Je suis venu vous porter un encouragement et vous dire que toute rencontre personnelle avec Jésus transforme toutes les circonstances de notre vie. Mes pleurs et angoisses venaient d’être changés en joie. J’ai alors résolu d’ouvrir les yeux et de regarder ce qui se passait. Lorsque je l’ai fait, il n’y avait plus de lumière dans ma chambre et cet homme avait disparu. J’ai alors songé profondément à connaitre cet homme du nom de Jésus dont la présence dans ma chambre n’a fait qu’apporter la joie dans mon cœur. J’ai pris mes affaires et suis partie de la maison au matin. En chemin, j’ai encore entendu la voix de cet homme qui m’avait à trois reprises visité dans ma chambre et adressé des paroles. Je l’ai reconnue, cette douce voix. La bible dit que les brebis de l’Eternel le connaissent et ils entendent sa voix. Entends-tu la voix de ton Dieu bien-aimé ? À cause des soucis, des inquiétudes et autres, nous n’arrivons souvent pas à l’entendre. Nous sommes enseignés, nous recevons toutes les exhortations possibles mais avons toujours du mal à entendre la voix de notre Seigneur. Que Dieu fasse tomber tout ce qui nous empêche d’entendre sa douce voix au nom de Jésus. Cette fois-ci quand je l’ai entendu, j’ai répondu oui. Il m’a dit, lève la tête et regarde, il y a une femme qui arrive, demande lui qui est Jésus. Et il ajouta ne crains pas. Puis une autre voix s’est fait ensuite entendre et m’a mis en garde contre cette recommandation en me faisant croire que je serais si frappée de folie. J’étais entre ces deux voix. J’ai dit en mon cœur que j’avais déjà assez de problèmes. A quoi bon donc de craindre la folie ? Qu’il advienne ce qui adviendra. J’ai alors décidé de parler à cette dame et lui faire cette demande. J’ai dit à la dame que je demande après un homme. Je ne l’ai jamais connu. Je lui ai dit que ce dernier est venu trois fois à la maison, dans ma chambre sans rien casser. Elle m’a demandé son nom. Je lui ai dit qu’il s’appelle Jésus. Elle a aussitôt levé les mains vers les cieux et a béni Dieu.
Ensuite, elle m’a prise dans ses bras, m’a embrassée et m’a couverte de bises. Cette femme m’a dit alors qu’elle le connaissait et savait où il habitait. Elle m’a conduit chez son pasteur. C’était un homme plein d’amour. Une fois chez son pasteur, elle s’est hâtée de les appeler, lui et son épouse. Le pasteur est alors sorti. Il l’a saluée, l’a embrassée et l’a couverte de bises. Il a agit pareillement à mon égard. Sa femme en a aussi fait de même. J’étais toute surprise. Jamais dans ma vie je n’avais été accueillie avec tant d’amour et de chaleur. Dans l’islam, ces choses sont proscrites. Même les simples salutations sont interdites parce que disent-ils cela risque de détruire leurs pratiques fétichistes. Cet accueil m’a rassuré et m’a donné pleine envie de me confier à lui. La dame m’a demandé de rendre le témoignage à nouveau à son pasteur. Je lui ai alors dit tout ce que j’avais vécu. Ensuite, j’ai demandé au pasteur où se trouvait Jésus. C’était là ce qui m’importait le plus. L’homme de Dieu m’a alors dit qu’il habitait chez lui mais qu’il recevait seulement trois jours dans la semaine. Les mardis et jeudis à 18h00 et les dimanches à partir de 08h00. L’homme de Dieu était sage. Il savait qu’en me donnant autre réponse que ce que j’attendais, cela pouvait me conduire au doute. C’est par sagesse qu’il m’a donné ces jours qui sont en réalité les jours de culte de cette église sans que je ne m’en rende compte.
Nous étions à un vendredi. J’ai alors résolu d’être là le mardi qui suivrait comme le lieu se trouvait non loin de la maison que j’habitais. Je suis venu au culte le mardi suivant comme prévu. Pendant que le Serviteur de Dieu prêchait la parole, il parlait sans le savoir de toutes les souffrances que je traversais. Cette prédication me touchait directement. J’ai dit en moi-même que personne ne connaissait mon problème dans cette assemblée. Ni la dame rencontrée lors de ma fuite encore moins le pasteur. Je me suis consolée en disant que c’est certainement Jésus qui étant venu dans ma chambre et sachant toutes ces choses qui le leur a fait connaitre. J’ai alors accepté cette prédication dans mon cœur. Ce jour là, l’appel à accepter Jésus comme Seigneur et Sauveur c’est-à-dire à devenir chrétien a été lancé et c’est ainsi que je me suis donnée au Seigneur. Après ma conversion, tout a commencé a changé dans ma vie. J’ai commencé par reprendre du poids et a avoir de l’embonpoint. J’avais reçu le pardon de mes péchés et la paix était dans mon cœur et je vivais tranquillement ma foi. Chaque jour de culte, j’étais présente. Et, ne sachant ni lire, ni écrire, ni parler le français, je ne savais quel sujet avait été donné pour lequel nous devions prier. Et donc, lorsque nous étions en prière et que tout le monde se disposait à cela, moi je n’avais qu’un seul sujet. Que l’évangile que j’ai reçu s’étende à mes proches, particulièrement à mon mari. Chaque jour donc je priais pour mon époux. Je faisais chaque fois cette prière : «mon père à moi, je ne te connaissais pas et tu t’es révélé à moi. Regarde comme tu es bon, je ne veux pas te connaitre tout seul. Le cœur de mon mari est pour toi comme moteur. Incline-le vers toi. Fais le revenir afin qu’il te découvre également ». C’était cela ma prière de tous les jours.
Les jours ont passé, j’ai persévéré dans la prière. Dieu tardait à m’exaucer. Mais j’ai été patiente et j’ai persévéré. Je crois que Dieu l’a fait ainsi pour m’amener à la patience et à la persévérance dans la prière. Bien-aimé, toi qui m’écoutes, ce message est pour toi. Il est vrai que tu pries et que l’exaucement tarde. Dieu veut te faire connaitre la persévérance et la patience dans la prière. Alors ne te décourage pas quand l’exaucement à ta prière tarde. Un jour mon mari est revenu à la maison prendre un document. Il avait une autre maison et une autre femme. Ce jour là, lorsqu’il est arrivé j’ai oublié qu’il était en conflit avec moi. Je lui ai alors adressé la salutation de bienvenue. C’est lorsqu’il m’a répondu comme d’habitude ‘’c’est crédit’ que je m’en suis rendu compte. J’ai alors répondu non. Je le suivais partout pendant qu’il était entrain de chercher son document dans le but de lui annoncer ce qui s’était passé dans ma vie en son absence. Lorsque je l’appelle, il me refoule.
Et ainsi de suite, J’ai donc gardé mon calme et ai patienté un instant. A un moment favorable, je lui ai dit : « tonton (c’est ainsi que j’appelais mon mari), lorsque tu n’étais pas là, Jésus est venu ici dans la maison. Je l’ai accepté comme Seigneur et je suis devenu chrétienne ». Il s’est arrêté un instant, m’a fixée et m’a demandé de lui répéter ce que je venais de dire. Avec la joie et le sourire, j’ai reprit la parole et lui ai dit la même parole. Il est alors entré dans la chambre, est ressorti, m’a attrapée et m’a très bien « chicotée ». Et cela était très délicieux. C’était pour une bonne cause que je recevais tout cela. Pendant qu’il me frappait, je n’avais qu’un seul mot à la bouche. C’était alléluia. Je n’avais personne pour m’enseigner la parole de Dieu en langue malinké et le seul mot en dehors du dioula que je parlais était alléluîa ! Quand sa main me frappait, je criais alléluîa, quand son pied en faisait de même je criais encore alléluîa ! Soudain, il a arrêté de me battre. J’ai alors retiré mes bras qui me servaient à protéger mon visage et je l’ai regardé. Il était là, il me fixait. J’ai alors crié alléluîa ! Et il a répondu safroulaye ! koutoubou, c’est quoi ça. Mon époux est parti et il m’a donné rendez-vous un autre jour.
Un jour, il est revenu à la maison, il était revenu simplement pour me persécuter et non pour reprendre sa place dans le foyer. Il m’a alors demandé si je savais pourquoi il était de retour. Je lui ai répondu que non. Il a m’a donc dit que c’était pour me battre jusqu’à ce que je renonce à mon ‘’alléluîa’’, c’est-à-dire jusqu’à ce que je renonce à Jésus. J’ai dit d’accord tonton, bonne arrivée. Il a vraiment mis en application ce qu’il venait de me dire. Pendant une semaine, il l’a fait. C’est lui plus tard qui est allé annoncer la ‘’bonne nouvelle’’ à nos familles respectives. Il leur a dit ceci : « votre fille a rétrogradé, elle est devenu cafri (terme qui désigne les non-musulmans dans la communauté musulmane). Elle est entrée dans quelque chose qui s’appelle ‘’alléluia’’. La famille est donc venue. Elle m’a fait des palabres. Après quoi, ils ont fait venir une igname. Ils l’ont coupé en deux. Ils ont pris une part et sont rentrés chez eux. Chez nous, lorsque cela est fait, la famille organise vos funérailles et considère que pour eux vous n’existez plus, que vous êtes mort. Mon époux de son coté est retourné où il était puisque c’était juste pour cela qu’il était venu. Je me suis à nouveau retrouvé seule. J’ai encore persévéré. Cela a duré 8 ans. Et je continuais toujours de prier mon Dieu. Je priais pour mon époux qui a quitté le foyer, pour ma belle maman qui m’avait brûlée, pour mes parents qui m’ont abandonnée.
4/ Le prix du pardon, l’obéissance, la soumission, la patience, la persévérance et la douceur
Première grossesse sans trompes
Huit ans après, mon époux est revenu à la maison avec tous ses bagages. Je lui dis bonne arrivée et il m’a répondu merci. J’ai réalisé que le Seigneur venait d’exaucer ma prière. Jésus venait de monter dans ma barque (Luc 5 :1-5). Bien-aimé, tu as une barque. Laisse Jésus monter dans cette barque et tu verras sa gloire se manifester, pour qu’il calme la tempête qui se trouve dans ta vie. Mon époux était de retour à la maison. Il ne me persécutait plus. Seulement, il m’a demandé de ne pas prier en sa présence. Lorsqu’il était à la maison et que je devais prier, je le faisais dans mon cœur. Un jour, un an après la venue de mon époux, je suis entrée dans ma chambre pour prier. J’ai voulu m’incliner et Dieu m’a fait entendre sa voix. Il m’a dit ceci : « ma fille, réjouis toi car tu portes un enfant dans ton sein et tu attends un enfant ». Je n’ai pas douté, j’ai dit mon père à moi, je porte un enfant. Puis je me suis mise à le louer selon sa recommandation. Je suis sortie de la chambre et j’ai trouvé mon époux dans le salon. Je lui ai donc annoncé la bonne nouvelle. Mais il ne m’a pas écouté. Il n’était même pas disposé à m’écouter. Je n’ai rien dit et j’ai gardé la foi en cette parole de mon Dieu dans mon cœur. Un jour il m’a appelé et m’a fait cette demande : « l’autre jour, tu es venue m’annoncer une nouvelle. De quoi s’agit-il ? ».
Bien-aimé, il faut cultiver en vous la patience en toute chose. Les grâces de Dieu ne s’obtiennent pas facilement. Il y a un prix à payer. Jésus a payé le prix pour le rachat de nos âmes. Nous avons à notre tour, une participation à apporter. Il y a le prix à payer pour entrer dans toutes les grâces. Ce sont la patience et la persévérance dans la prière et aussi la douceur. Ils font partie des fruits du Saint-Esprit. Il me demanda ce que je voulais lui annoncer. Je lui ai donc dit que j’attendais un enfant. Il s’est donc fâché. Il m’a dit ceci : « ton Dieu ne sait il pas que tu ne peux concevoir des enfants ?et même si lui il ne le savait pas, ne le sais-tu pas toi qui me parles ? ». J’ai dit tonton, Dieu l’a dit et moi je crois simplement. Il m’a donc dit qu’il allait me conduire à l’hôpital. Mais malheur à moi si l’on découvre une autre maladie que celle que nous savons déjà. Cette fois il me promet de me vider des lieux. J’étais là et je l’écoutais. J’attendais toujours. Il m’a donc demandé ce que je faisais encore en sa présence. Je lui ai donc dit ceci : « tonton, tu m’as dit que si ce n’était pas une grossesse et que c’était une autre maladie tu me viderais. Que se passera t-il si c’était une grossesse ? C’est ce que j’attends de savoir». Il m’a regardée et m’a dit que je commençais à devenir intelligente. Je ne l’ai pas pris en mal mais j’ai plutôt glorifié Dieu de ce que mon époux rendait témoignage de l’intelligence qui venait de m’habiter. C’était une très bonne remarque de sa part. Bien-aimé, retenez qu’il n’y a point de sagesse en dehors de Christ. Il m’a alors dit que si malgré mon état, s’il s’avérait que c’était une grossesse, mon Dieu deviendrait son Dieu. Et qu’il donnerait sa vie à Jésus. Il l’a dit, ne connaissant pas le Seigneur avec beaucoup de mépris.
La conversion de mon mari
Bien-aimé, il est écrit dans la parole de Dieu qu’il n’y aura point de femme stérile en Israël, c’est-à-dire dans la maison de Dieu. C’est ainsi qu’Anne, la mère du Prophète Samuel pouvait dire que sept fois la femme stérile enfantera dans son cantique à Dieu. Il est aussi écrit dans Exode 23 :26 qu’il n’y aura point dans ton pays ni femme stérile ni femme qui avorte. Cela pour dire que nous aurons du succès en toute chose si et seulement si les fondements, les liens sont brisés. J’étais issue d’une famille dans laquelle la stérilité battait son plein. Toutes les femmes se mariaient mais aucune d’elle n’arrivait à avoir des enfants. C’était la réponse que j’attendais de mon époux. Si je n’avais pas été patiente, je n’aurais pas entendu cela. Il a donc choisi lui-même un jour afin de me conduire à l’hôpital. Une fois à la maternité, le jour choisi par mon époux, il m’a présenté à la sage-femme comme étant sa servante. Il a dit à la sage-femme que j’affirmais que mon Dieu lui m’avait dit que je portais une grossesse. Et que, si tel était le cas, il me renverrait de la maison. Cette dernière ne sachant pas que c’était le contraire m’a copieusement engueulée. Elle me disait ceci ; tes parents ont souffert pour te trouver du travail et toi tout ce que tu leur envoies comme récompense, c’est une grossesse !
Après les examens, il s’est avéré que je portais effectivement une grossesse. La sage-femme m’a alors dit ceci : « madame, je suis désolée pour vous. Votre patron va vous renvoyer car vous portez une grossesse ». Je veux dire à tous ceux qui me lisent actuellement que comme moi, ils enfanteront dans tous les domaines de leur vie. La sage-femme est sortie l’annoncer à mon prétendu patron (selon la présentation faite par lui). Elle lui a donc dit ceci : « monsieur, votre servante est effectivement enceinte ». Il a oublié la présentation qu’il avait faite. Il s’est jeté sur la sage-femme, l’a prise dans ses bras et l’a soulevée. Elle s’est donc écriée : « s’il vous plait monsieur, reposez-moi par terre. Je n’ai nullement dit que votre servante ne portait pas une grossesse ! Je vous dit plutôt qu’elle attend un enfant ». Il tenait en main les certificats des divers examens que nous avions faits par le passé et qui me déclarait stérile pour toujours. La médecine l’avait annoncée ainsi, mais Christ avait déjà effacé toutes ces ordonnances qui me condamnaient à la croix de Golgotha il y a plus de 2000 ans. Elle les a reconnus et a dit qu’elle ne pouvait croire que je portais une grossesse. Elle faisait partie de ceux qui m’avaient examiné par le passé. Elle m’a donc demandé depuis combien de temps je portais cette grossesse. Je lui ai répondu que je n’en savais rien. Et que, c’est l’Eternel qui me l’avait dit par révélation. Elle m’a alors conduit dans une chambre pour me faire subir des examens afin de voir la durée qu’avait faite cette grossesse. C’est après ces examens que nous avons su que cette grossesse avait environ 4 mois. L’échographie a révélé que l’enfant n’était soutenu par aucun organe humain. Et que c’était une main blanche qui le soutenait. L’enfant était couché dans une main. Le médecin qui m’examinait a eu peur lorsqu’il a vu cela. Il est sorti de la salle et est allé appeler ses collègues. Ils sont venus et tous étaient surpris par cela. Ils m’ont alors demandé comment je me portais. J’ai répondu : ‘’à merveilles’’. Ils m’ont alors dit qu’il y avait une main dans mon ventre. Je leur ai demandé ce que faisait cette main. Ils m’ont dit qu’elle tenait l’enfant. J’ai alors dit que c’est la main de l’Eternel des armées.
A la sortie de l’hôpital, je me dépêchais pour ne pas que nous marchions cotes à cotes. C’est ce qu’il avait voulu. A ma grande surprise, une fois au niveau des escaliers, il m’interpelle à nouveau. Il me demandait pourquoi je marchais aussi vite. Je me suis arrêtée et me suis tournée vers lui. Tout le monde avait les regards portés sur moi. J’ai demandé tonton, qu’ai-je encore fait ?il m’a dit tu marches très rapidement, ne sais tu pas que tu vas faire du mal à la grossesse ? Dieu a soutenu cette grossesse pendant neuf mois, jusqu’à l’accouchement.
La conversion de mon mari (suite)
C’est ainsi que mon époux s’est donné au Seigneur Jésus. Nous sommes demeurés dans la prière pendant tout le temps qu’a duré la grossesse jusqu’à l’accouchement. Un mardi soir, pendant le culte, Dieu me dit que le jeudi qui suivait était le jour de mon accouchement. Après le culte, je suis rentrée à la maison. Mon époux, revenu du travail (il est gendarme de formation), me demanda comment s’était passé le culte. Je lui ai répondu « bien » par la grâce de Dieu. J’en ai profité pour lui annoncer ce que Dieu m’avait dit. Il a donc demandé une permission au travail pour jeudi afin d’être avec moi. Chose qui lui a été accordée. Le jour j, mon époux me suivait partout dans la maison. Il me demandait si je me portais bien. Je l’ai rassuré et j’ai dit ‘’tout va bien’’. Nous étions tous deux dans la cuisine entrain de faire le petit déjeuner lorsque j’ai voulu m’asseoir sur un tabouret. Mon époux m’a aidée à le faire. Lorsque j’ai pri appuis sur son bras, aussitôt j’ai poussé et l’enfant est sorti. Je précise que cela s’est fait sans douleur, sans les détails que m’avaient donnés les médecins comme signes précurseurs. C’était un garçon. Il est sorti appeler une voisine pour nous aider et tous les trois, nous sommes allés à la maternité. Ensuite, il est allé en famille annoncer la bonne nouvelle. Il a dit ceci : « ma femme vient d’accoucher. Elle a fait un garçon, cela s’est produit sous mes yeux, en ma présence». Il est devenu témoin de Christ.
c. La conversion de ma mère
Ma mère l’a donc suivi à la maternité pour venir voir ‘’celle qu’on avait enterrée’’. Une fois à la maternité, dans la salle où j’étais gardée, ma mère qui s’appelait ‘’Hadja’’ car ayant fait la Mecque a jeté son voile qui l’a recouvrait et m’a dit ceci : « à partir de ce jour, ton Dieu devient mon Dieu ». C’est ainsi que ma mère se donna au Seigneur Jésus. Dieu connaissait les intentions du cœur des uns et des autres. Qu’est-ce qu’ils auraient bien dit si l’accouchement n’avait pas eu lieu en présence de mon époux. Qu’est-ce que lui-même (mon époux) aurait bien pu dire en lui-même. Est-ce que cet enfant est vraiment sorti des entrailles de ma femme, Dieu le savait, raison pour laquelle il a permis que cela se produise devant mon époux. Nous sommes devenus maintenant trois chrétiens dans la famille. Le nom de l’enfant, le premier est Ouattara le juste vivra par sa foi, tel est son nom. Dieu a eu pitié de ma mère qui allait tout droit en enfer et l’a arraché du chemin de la mort. C’est en cela que cette parole qui dit que nous et notre famille serviront le Seigneur est vraie. Nous étions donc trois personnes dans la famille avec l’enfant à continuer le combat. Et nous avons continué dans la prière. Le reste des membres de ma famille a dit à mon époux que si notre Dieu était si puissant, qu’il me donne d’autres enfants et l’on verra. Ils ont lancé le défi pensant que c’était à nous qu’ils l’avaient lancé. Or c’était à Dieu lui-même qu’ils l’avaient lancé. Dieu n’a pas opéré le miracle dans ma vie en me donnant des trompes. O que non ! Je n’avais point de trompe et je ne connaissais point de menstrues chaque mois. Ce pourquoi j’avais besoin de ces choses c’est-à-dire avoir des trompes et des menstrues, Dieu l’a fait sans me donner ces choses dites indispensables pour pouvoir enfanter. Il est allé à l’essentiel. Notre Dieu va toujours à l’essentiel. Le premier enfant a grandi et a commencé à marcher.
d. La conversion du reste de ma famille et de ma belle famille, après mes 15 enfants, sans trompes ni menstrues.
Un jour pendant que j’étais comme à mes habitudes en plein dans l’œuvre du Seigneur, dans l’évangélisation, Dieu va m’arrêter et me donner une révélation. Il me dit ma fille tu portes une grossesse. Après l’évangélisation, je l’ai annoncée à mon époux une fois à la maison. Nous nous sommes rendus à l’hôpital pour confirmation. Et cela a été confirmé. Il est allé en famille l’annoncé à tous. Il leur a dit ceci : « vous avez dit que si notre Dieu était capable, qu’il accorde à mon épouse à nouveau des enfants. Je suis venu vous annoncer qu’elle attend à nouveau un enfant. ». Ils ont répondu en disant : « attends qu’elle accouche d’abord et on verra. Qu’est-ce qui nous dit que c’est un enfant qu’elle porte en son sein ? ». Ma mère après avoir accepté l’évangile a aussi été renié. Dieu a encore soutenu cette deuxième grossesse par sa main puissante. J’ai accouché une fois de plus à la maison et cela en présence de mon époux et ma mère qui était là avec nous. Par la grâce de Dieu, j’ai fait un triplé. C’était deux filles et un garçon. Mon époux est allé informer les parents. Dès qu’ils ont reçu le témoignage, plusieurs ont cru en Jésus et se sont donnés à lui. Progressivement, le Seigneur a fait pénétrer l’évangile dans ma famille. La mienne comme celle de mon époux. Plusieurs se sont donnés à Jésus, jusqu’en 1992. Nous nous sommes assis et avons pu contempler les grâces du Seigneur. Nous étions à notre 15ème enfant. Sans trompes, ni menstrues chaque mois, nous avons eu 15 enfants. C’est une grâce du seigneur. Nous avons eu 3 triplés.
La conversion de l’imam et ses trois épouses
L’année dans laquelle nous avons eu notre neuvième enfant, l’iman de la mosquée que nous fréquentions à l’époque où nous étions musulmans s’est donné au Seigneur. Il a envoyé vers moi à cette période des personnes m’appeler. Une fois chez lui, il m’a fait cette révélation : « on a essayé de te tuer. On a tout essayé sans succès. Tu as toujours échappé à nos attaques. On a même envoyé vers toi des personnes avec pour mission de te faire avaler un produit appelé Nancigui (produit qui sert dans le milieu musulman à faire des incantations) associé à la bille de caïman. Là encore ce fut un échec ». Effectivement, ces hommes ont accompli cette recommandation de l’imam. Un jour, ils m’ont trouvé au grand marché d’adjamé et m’ont coincé dans un lieu isolé. Ils m’ont serré très fort la gorge à tel enseigne que je ne pouvais respirer. Pour pouvoir respirer, j’étais alors obligé d’ouvrir la bouche. Ils ont alors renversé ce mélange de produit dans ma bouche et me l’ont fait avaler. Il faut dire que j’ai longtemps souffert de cela. J’ai perdu énormément de sang. Et j’ai très souffert. Un jour le Seigneur m’a fait savoir qu’il avait converti ce produit toxique injecté dans mon organisme par mes adversaires en vitamines. A partir de ce jour le mal a cessé. L’imam a reconnu ces faits. Il m’a dit que depuis lors, ils attendaient tous ma mort ou ma décomposition. Mais c’est le contraire qui s’est produit. Et bien plus, j’ai même des choses que je n’avais pas avant cet évènement qui sont arrivées dans ma vie. Cela a donc dépassé son entendement. Il m’a donc demandé combien cela coutait de devenir chrétien. Je lui ai répondu que cela était gratuit. Et à moi d’ajouter ceci : « pourquoi donc demandes-tu tout cela ? ». Il m’a dit que c’est afin de donner sa vie à Jésus. Le dimanche qui a suivi, il est venu au culte avec ses trois épouses. Et tous ont accepté Jésus comme Seigneur et Sauveur personnel. Dieu avait besoin de lui, il voulait le sauver. Il a donc utilisé tous ces évènements pour l’attirer à lui. C’est en 1992, que moi et mon époux avons demandé à Dieu dans la prière de fermer mes entrailles afin que je n’enfante plus. Nous nous sommes donc arrêtés à ces 15 enfants. Il y avait 8 filles et 7 garçons.
5/ GARDEZ LA FOI FACE AUX EPREUVES DANS LA MARCHE CHRETIENNE
La résurrection de mon fils, lien de la mort du 13è enfant brisé
Il se trouve que dans ma famille, il y a un lien très fort. Le 13ème enfant de la famille devait mourir. Il ne pouvait pas vivre. Nous, nous en avons eu 15. Une année, nous avons organisé une croisade d’évangélisation à Tengrela. Dans la même période, notre 13ème enfant est tombé gravement malade. Jusqu’à la veille de notre départ, il souffrait toujours. Les hommes de Dieu qui étaient venu me chercher ont vu l’enfant dans un état très grave. Ils ont donc suggéré que l’on reporte le programme pour cela. J’ai dit avec beaucoup de respect aux serviteurs de Dieu qu’il n’était pas question d’agir ainsi. Je savais une seule chose. Dieu veut qu’on s’occupe de ses affaires sur terres et lui il se chargera en retour des nôtres. Il n’avait nullement besoin de notre présence physique pour guérir cet enfant. Ils ont donc prié pour l’enfant et nous sommes partis. Deux jours après notre arrivée à Tengrela, en pleine activité, Dieu m’a annoncé que l’enfant était mort. Lorsqu’il me l’annonçait, il dit : « ton fils que tu as laissé à la maison s’est endormi ». Il n’a nullement dit qu’il était mort. J’ai donc considéré cela comme une grâce, une bonne nouvelle du Seigneur. Je l’ai ensuite annoncé aux hommes de Dieu avec lesquels j’étais arrivé à Tengrela pour la croisade. L’un d’entre eux m’a demandé ce que signifiait ‘’l’enfant s’est endormi’’. J’ai alors dit que pour nous (selon les hommes) il était mort mais que Dieu ne me l’avait pas annoncé ainsi. Mais qu’il m’a plutôt dit que l’enfant dormait. Ils ont donc jugé bon que l’on arrête le travail pour retourner à Abidjan. Je leur ai dit que nous n’en avions que pour trois semaines et qu’il fallait mieux continuer l’œuvre.
Deux semaines après notre arrivée, une délégation composée des anciens et diacres de l’église est arrivée à Tengrela pour nous annoncer le décès de l’enfant. Lorsqu’ils sont arrivés, ils se sont mis à chercher des passages bibliques dans le but de me consoler. J’ai alors coupé court en leur disant que s’il s’agissait pour eux de m’annoncer le décès de mon fils, cela était peine perdue. Et que, Dieu nous l’avais déjà révélé. C’est alors que les hommes de Dieu avec qui j’étais arrivé à Tengrela ont donc dit : « donc ce qu’elle nous avait dit était vrai ? ». Et aux nouveaux venus de répondre par l’affirmative en leur donnant plus de détails. Nous leur avons donc dit de retourner sur Abidjan et que nous allions poursuivre le travail. Dieu ne m’a pas dit que l’enfant était mort. Il a plutôt dit qu’il dormait. Et c’est cette parole du Seigneur qui m’importait. Le reste n’avait aucune attention ni importance de ma part. J’ai même affirmé qu’il jouait beaucoup d’ordinaire et donc que c’était pour lui un temps de repos. Nous avons donc poursuivi notre programme et le corps de l’enfant est resté à la morgue. Il s’est trouvé que mon époux a voulu retirer le corps de la morgue pour l’enterré, car c’était un enfant et pour nous les ressortissants du nord de la Côte d’Ivoire, nous n’avons pas pour habitudes de garder longtemps les corps à la morgue comme c’est le cas chez d’autres peuples de Côte d’Ivoire. Cela pour éviter de gaspiller inutilement de l’argent dans les frais que requiert la garde d’un corps à la morgue etc…
Ils avaient donc décidé d’enterrer le corps un vendredi. Nous avons fini le programme un mercredi. Nous avons donc jugé bon de quitter Tengrela le jeudi matin de bonne heure. Il se trouve que partir de Tengrela pour Abidjan requiert un jour de trajet. C’est dire que si nous quittions Tengrela Jeudi à 8h00, nous arriverons vendredi à 8h00. C’est ce qui s’est passé. Nous sommes arrivés le lendemain vendredi matin. Nous sommes tombés à pique dans les funérailles de l’enfant. A notre arrivée, j’ai été accueillie avec des pleurs par des frères dans la foi, des hommes de peu de foi. Malgré tout ce que nous avions dit, ils ne croyaient pas. Je les ai donc encouragés et exhortés. Je les fortifiais en disant : « bénissez le seigneur, nous ne sommes pas en deuil. Dieu nous demande de le louer en toutes choses, en toutes circonstances. Faisons ainsi. L’enfant n’est pas mort mais il dort selon ce que Dieu m’avait dit ». Louez donc Dieu et ne cédez pas à la séduction. Si nous nous mettons dans un état de deuil, Dieu ne fera plus rien pour nous. Moi j’avais déjà refusé la mort dans mon esprit et donc je l’ai encourageais à en faire de même. Pour moi, il dormait, un point, un trait. J’ai demandé le programme et on me l’a donné. J’ai donc fait la proposition à mon époux de laisser tomber le corbillard et le cercueil pour la levée de corps. Il a été dans un premier temps opposé à cause de l’argent qu’il perdrait en agissant ainsi puis il a accepté. Je lui ai dit que Dieu allait lui rembourser cela. Et qu’il n’y aurait point de trou parmi les quinze enfants, du moins pour l’instant. Nous sommes donc allés chercher dans une voiture personnelle notre cadeau. C’est ainsi que je l’ai qualifié. Nous sommes arrivés à la maison. Les amis de classe, les enseignants de l’enfant étaient tous présents. Et ils pleuraient. Nous avons déposé le corps dans la chambre. J’ai dit à mon époux de rester au salon à encourager les uns et les autres à rendre gloire à Dieu plutôt que de céder aux pleurs. On lui avait déjà injecté le formol à la morgue. Son cas était donc scellé devant les hommes et la science. La science a parlé. Mais Dieu dit qu’il dort et qu’il n’était pas mort. De Dieu et de la médecine, qui dit vrai ?
J’ai donc parlé à Dieu lorsque j’étais dans la chambre avec le petit. J’ai dit : « Père, tu m’as dit qu’il dort. J’ai cru en ta parole. Il est dit que les 13 ème enfants dans notre famille ne doivent point vivre. Si tel est le cas pour les autres, je refuse que ce soit mon cas, à moi ta servante. Cet enfant doit te servir. Il n’a encore fait aucune œuvre pour toi. Je veux qu’il s’en aille mais ayant l’assurance d’avoir une très bonne place auprès de toi au ciel. Or il n’a encore rien fait qui puisse lui garantir cela. Tu m’as dit qu’il dormait. Cela fait maintenant trois semaines que cela dure. Il a assez duré dans son sommeil. Nous sommes allés pour ton œuvre, et nous voici de retour. Réveille-le d’entre les morts, et glorifies ton nom Père ! ». On ne peut que communiquer ce que l’on a en nous aux autres. Si nous avons en nous l’esprit de vie, c’est cela que nous pouvons communiquer aux autres. Je me suis dit en moi-même ceci : « j’ai lu dans ta parole qu’Elisée ton prophète a prié pour le fils de la femme sunamite et il est revenu à la vie. Une femme veuve partait enterré son fils unique, elle t’a croisé en chemin et tu as fait arrêté le cercueil et tu l’as ramené à toi. Moi également, j’ai fait une rencontre avec toi et voici mon fils est mort. Comme tu n’as pas changé, ramène mon fils également à la vie mon Dieu ». Je me suis couché sur lui. Visage contre visage, corps contre corps. Je lui ai fait du corps à corps et je continuais à louer le Seigneur pendant que j’étais couché sur lui.
L’odeur du formol était suffocante et je ne pouvais la supporter davantage. Je me suis donc levé et j’ai fait face au mur comme le roi Ezéchias et j’ai continué à invoquer et glorifier Dieu. Pendant que je faisais ainsi, l’enfant a éternué. Alléluia ! Gloire à Jésus ! Il est le Dieu de vie et de miracles. C’est pourquoi je suis d’accord avec la prédication de tout à l’heure qui disait que tout ce qui était en nous reprendra vie. Je l’ai regardé et voici il avait les yeux fermé et disait : « merci Seigneur, merci Seigneur ». J’ai alors dit : « Seigneur, lorsque tu as ramené Lazare à la vie, il était toujours lié par les bandes. Tu as alors dit de le délier et de le renvoyer libre. Voici, il a éternué et il parle. Mais il a toujours les yeux fermés. Certainement qu’il est lié quelque part. Délies-le donc. Père, achèves ce que tu as commencé. J’ai continué à louer Dieu. Chantant des cantiques à la gloire de son beau et grand nom. De ce qu’il avait fait pour moi et qu’il continue de faire encore dans ma vie. Et à un moment donné, il s’est levé. Puis il s’est tenu debout devant moi. C’est à ce moment que je lui ai tendu la main et l’ai pris dans mes bras. J’ai alors donné un cantique que nous avons, lui et moi chanté. Nous avons rendu gloire à son nom. Je lui ai ensuite dit que nous allions sortir mais qu’il y avait beaucoup d’hommes au salon qui s’inquiétaient de son sommeil prolongé qui avait duré trois semaines. Et qu’ils étaient tous venus afin de le voir se réveiller. Nous allons sortir et tu vas les saluer, ai-je dit. Tel que je suis entrée avec le sourire, tel je suis sorti de la chambre avec le même sourire. Il y a une personne dans la foule qui a lancé ceci : « que fabrique-t-elle encore ? Qu’elle nous remette le corps afin qu’on aille le mettre en terre. ». J’ai dit en moi-même ‘’moi mon cadeau que Dieu m’a donné vous allez le mettre en terre !’’. Je lui ai ensuite dit de ne pas s’en faire. J’ai alors quitté la porte et ai demandé à mon fils de sortir. Celle qui avait lancé cette parole était la première a barré l’accès de la porte de sortie aux autres qui était là. La panique et la débandade ont pris la maison. Tous ceux qui étaient venu nous assister, pleurer avec nous ont pris la fuite. Ils couraient dans tous les sens. Et même ceux qui venaient pour la même raison prenaient aussitôt la fuite quand ils apprenaient la raison de la débandade des autres.
Les funérailles venaient ainsi d’être annulées. Notre Seigneur Jésus est vivant. C’est parce qu’il est vivant qu’il peut ressusciter les morts, c’est parce qu’il est vivant qu’il peut communiquer la vie. Alléluia ! Gloire à Jésus ! L’enfant se porte à ce jour (au moment du témoignage) très bien et il a même présenté les examens du BTS. Le diable et ses agents sur terre venaient ainsi d’échouer. Tant que Jésus sera vivant, nous aurons toujours la victoire. Ils échoueront toujours. C’est pourquoi il est dit « tes ennemis verront la gloire de Dieu se manifester dans ta vie sous leurs yeux. ». Certainement qu’ils ont juré que tu n’aura point de part dans le mariage. Mais ils viendront eux-mêmes assister à ton mariage. Ceux qui ont juré que tu n’auras point d’enfant te verront avoir des enfants par la grâce de Jésus.
La résurrection de mon mari et celui d’un jeune homme à la même morgue entraine la conversion de toute sa famille.
L’ennemi a alors continué ses œuvres et ses attaques contre ma famille. C’est ainsi qu’un jour il y a eu le déversement des déchets toxiques dans notre pays. Mon époux, gendarme de formation a été requis avec quelques éléments pour garder un des sites de déversements afin d’éviter que les populations ne s’en approchent et ne soient contaminées. Après cela, il a commencé à se plaindre de douleur à la tête. Il a commencé plus tard à saigner des narines. Un jour, pendant qu’il s’apprêtait à se rendre au travail, il m’a dit avoir mal à la tête et de fortes migraines. J’ai donc dit que je le soutiendrai en prière à la maison et que celui qui lui avait donné ce travail c’est-à-dire Jésus ne le laissera pas ainsi malade sans pouvoir lui donner la santé pour pouvoir exercer ce métier qu’il lui avait donné. C’est donc ainsi qu’il s’est rendu au travail. Peu de temps après son arrivée sur son lieu de service, il s’est affaissé. Une fois à l’hôpital, il est décédé. ‘’Tu m’as dit à tout à l’heure et non adieu. Tu as dit que tu allais au travail et que tu reviendrais et non que tu allais pour ne plus revenir’’. C’est ainsi que ses supérieurs m’ont fait appel. Je suis arrivée sur les lieux, au CHU de cocody. Le capitaine et le commissaire se renvoyaient chacun la balle. Personne n’était assez fort pour m’annoncer la nouvelle. J’ai donc rappelé qu’il s’agissait de mon époux. Est-il mort ? Ai-je demandé. Ils ont répondu par l’affirmative. Ok, il n’y a pas de problème, ce n’est pas un secret pour moi. J’ai donc demandé où se trouvait son corps. Je me suis rendue là où se trouvait son corps et j’ai dit ceci : « tonton, quand tu allais au travail, tu m’as dit à tout à l’heure. Tu ne m’as pas dit que tu venais à la morgue.
La résurrection de mon mari et celui d’un jeune homme à la même morgue entraine la conversion de toute sa famille.
Si tel avait été ton vœu, je te l’aurais déconseillé. Cela veut dire que ce qui t’arrive n’est guère dans notre programme ». Après cela, je suis ressortie et j’ai demandé à ses patrons de rentrer s’ils le voulaient et que j’allais quant à moi restée aux cotés de mon époux. Et que vu que les formalités à remplir en pareil situation n’étaient pas urgentes, ils pouvaient rentrer tranquillement chez eux. Ils sont donc allés l’annoncer aux autres collègues. Bien-aimé, je voudrais te dire que là où s’arrête la main de l’homme, là commence à agir celle de Dieu. Je l’ai annoncé aux membres de la famille. L’un d’entre eux a dit aux autres de ne pas se mettre en peine pour moi. Et que mon Dieu avait pour habitude de ramener à la vie ceux de mes proches qui mourraient. J’ai dit oui à cela. Bien-aimé, nous avons avec nous le Dieu vivant, le ressuscité, qui a en lui la vie. Je me suis rendu à nouveau auprès du corps de mon époux. Le gardien de la morgue m’a demandé si j’avais des vêtements de rechange. J’ai dit que je n’en avais pas. Mais, que j’étais venue chercher mon époux. J’ai même dit qu’il n’y avait pas de raison que je vienne en ce lieu avec des vêtements de rechange car ce lieu n’était pas notre demeure.
Je suis donc entrée et j’ai parlé à mon époux. Puis je me suis mise à menacer la mort. J’ai dit ceci : « je te menace non en mon nom propre parce qu’il ne peut rien mais plutôt au nom de l’Eternel des armées, de Jésus-Christ. Voici, il a déjà payé pour sa mort et vaincu la mort. Donc tu libères mon époux, nous nous rentrons chez nous ». Ensuite je me suis mise à louer Dieu. Quand j’ai dit ‘’amen’’, il a aussi répondu ‘’amen’’. Alléluia, merci seigneur. J’ai alors dit à mon époux de me rejoindre afin qu’on sorte de ce lieu. Pendant que nous étions entrain de quitter les lieux, il y avait le corps d’un jeune homme mal disposé. Mon pied l’a heurté. Alors que je voulais m’excuser, il s’est tenu debout. Il a dit vouloir nous suivre. J’ai répondu allons ! Lorsque nous sommes sortis, les gardiens ont pris la fuite et nous ont laissé. C’est une fois dans la cour du CHU que nous lui avons demandé où il habitait. Il a répondu à Koumassi. J’ai alors dit que nous, nous habitons à Yopougon et que nous allions nous séparer en chemin. Il nous a dit que s’il allait seul chez lui, personne n’allait le recevoir à cause de cet évènement (sa mort puis sa résurrection).
Nous avons donc décidé de l’accompagner chez lui pour ensuite retourner chez nous. Il a eu raison de nous demander de l’accompagner chez lui. Une fois dans son quartier, il y avait des bâches et des chaises dressées pour ses funérailles. Nous étions, moi et mon époux devant et le jeune homme derrière nous. A première vue, ils ne l’ont pas aperçu. Mais ce fut une fois de plus la grande débandade lorsque les uns et les autres l’ont aperçu. J’ai donc couru à leur trousse et je leur ai expliqué ce qui s’était passé. Comment Dieu avait visité leur fils ou ami à la morgue et l’avait ramené à la vie. Par la grâce du Seigneur, il s’est donné à Jésus ainsi que ses parents qui ne connaissaient pas Dieu. C’est donc ainsi que nous sommes rentrés à la maison, moi et mon époux.
6/ Mes encouragements à rechercher activement la FOI.
Voici ce que Jésus est capable de faire pour tous ses enfants qui croient en lui. Or, notre maladie à nous en tant que chrétien, c’est le doute. Principalement les chrétiens de cette assemblée que je visite. Le doute est un esprit. Un esprit autre que le Saint-Esprit de Dieu. Et c’est lui qui détruit la foi des enfants de Dieu. La bible nous apprend que celui qui doute dans son cœur n’a pas droit à la bénédiction de Dieu. Or nous doutons. Que pouvons-nous donc attendre de Dieu ? Je suis venu vous encourager bien-aimés à avoir foi en votre Dieu et à ne point douter. Deuxième chose. Vous n’avez plus la foi. Vous croyez que Dieu est le Dieu de la bible et non d’actualité. Il suffit d’avoir un simple mal pour voir l’agitation des chrétiens. Vous ne cherchez plus à mettre en échec l’esprit qui se trouve derrière ce mal. Plutôt, vous parcourez toutes les pharmacies à la recherche de comprimés. Est-ce que les comprimés peuvent en réalité venir à bout du mal qui nous ronge ? Que peut donc faire le Seigneur dans pareil cas? Avez-vous une fois entendu qu’un comprimé ait apporté la délivrance à un homme ? Il n’y a que par le Saint-Esprit que cela est possible. C’est par l’action du Saint-Esprit que nous sommes délivrés, que Dieu opère des miracles. Et cela de concert avec notre foi. Mais hélas, nous manquons de foi. Le Dieu de la bible n’a point changé. Ce qu’il a fait hier, il le fait pareillement encore de nos jours. Si tu n’as pas la foi bien-aimée, tu accompagneras les autres dans les exploits que Dieu fera dans leurs vies. Or le souhait de notre Dieu, de Jésus de Nazareth est que sa mort ne soit pas pour nous un évènement comme tout autre mais une source de vie, de salut et de délivrance. Il est mort et ressuscité pour nous communiquer de nombreuses grâces. Entre autres, nous avons la vie et la foi. Si nous avons la foi et que nous ne doutons point dans notre cœur, nous verrons de grandes choses dans nos vies. C’est dans ces choses que nous sommes et dont je vous parle. Il a dit de croire et de croire. Il a dit : « voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru ». Mais tu doutes. Donc aucun miracle ne peut t’accompagner si ce n’est la peur, la crainte des hommes pour abandonner Dieu. Je suis venu t’encourager ce matin. De même que tu abandonnes toutes tes activités pour te rendre chaque jour au culte. Agis pareillement dans un attachement véritable à Dieu et recherche activement la foi. Cette foi te permettra de voir Dieu de tes propres yeux, de voir Dieu à l’œuvre dans ta vie, d’expérimenter beaucoup de grâces. Dieu opère beaucoup de miracles dans nos vies chaque jour. Mais le manque de foi nous empêche de les saisir. Même lorsque notre Dieu nous tend la main, nous restons encore incrédules. Dieu peut nous parler et nous dire lèves-toi et fais telle ou telle chose dans ma maison. Mais le doute t’amènera à croire que ce sont tes propres pensées qui te dictent ces choses. Simplement parce que l’ennemi sait que si tu fais l’œuvre du Seigneur, tu seras béni. Si tu te mets au service de Dieu aux cotés des hommes de Dieu, vous serez bénis. C’est ce que Dieu nous dit dans le livre d’Exode 23:20-26. Servez l’Eternel et vous serez bénis. Et je crois qu’il en sera ainsi. Mais le doute va vouloir t’empêcher d’agir ainsi, de croire en toutes les bonnes prédications qui nous sont données. Ce que je viens de dire est mon témoignage. Il est pour moi et moi seul. Je ne peux vous donner les enfants que j’ai eu par ma foi en Dieu. Tu veux une chose de Dieu et tu doutes de lui. Si l’on disait que c’était des marabouts qui avaient fait cela vous croirez. Pourtant ce sont des hommes mortels comme vous et de surcroit des menteurs. Mais je te dis que c’est le Dieu créateur du ciel et la terre qui a fait toutes ces choses et certainement que tu douteras encore dans ton cœur. Manque de foi et rempli de doutes. Bien-aimés, soyons tous délivrés de cet esprit au nom de Jésus. Soyons remplis de foi et de confiance en Jésus. Alors, nous verrons la main de Dieu dans nos vies. Amen !!! FIN
UN APPEL !
Tu peux toi aussi avoir ton expérience avec Jésus.
Cher(è) lecteur ou lectrice, à travers ce merveilleux témoignage que tu viens de lire, le Seigneur JESUS-CHRIST veut te rassurer qu’IL peut aussi changer ta vie, comme IL vient de le faire pour Mme OUATTARA. Veux-tu aussi qu’IL intervienne dans ta situation ? Si oui, il te faut simplement placer ta CONFIANCE EN LUI comme l’a fait cette dame, ensuite LUI demander son secours, IL te répondra.
Si tu acceptes à partir d’aujourd’hui de LUI faire confiance et de compter sur LUI en toutes choses, comme l’on compte sur l’argent pour tout faire, JESUS-CHRIST peut agir et changer toutes les circonstances de ta vie, au-delà de ton entendement et des réalités humaines car IL EST PUISSANT POUR LE FAIRE.
Si tu acceptes de croire qu’IL peut aussi faire quelque chose pour toi, je te le dis en vérité, IL peut agir dès cet instant pour toi sans que tu ailles dans une Eglise ou besoin de faire recours à un Pasteur ou un Prophète pour obtenir la solution ou le miracle qu’IL t’a réservé. SI TU PEUX CROIRE DANS TON CŒUR SANS DOUTER TU VERRAS CETTE PAROLE S’ACCOMPLIR SOUS TES YEUX.
Si tu acceptes de LUI faire entièrement CONFIANCE, IL peut même agir pour toi, sans tenir compte de ton appartenance religieuse, de tes limites ou tes faiblesses, de la mauvaise vie que tu peux mener en ce moment, parce qu’il t’aime et veut te faire GRACE pour t’amener à la repentance. Si tu acceptes de croire en LUI , ni les sorciers, ni la souffrance, ni les liens parentaux ou une quelconque malédiction, ni les oppositions des hommes ou la condamnation des esprits …etc. Ne pourront t’empêcher d’entrer dans ta destinée et d’être l’étoile brillante de ta famille. L’IMPOSSIBILITE DEVIENDRA POSSIBILITE POUR TOI.
Si après cette première expérience, tu veux toujours continuer de bénéficier davantage de ses GRÄCES, il te faut alors (1) accepter de donner ta vie à JESUS en passant par le baptême de repentance, (2) fréquenter une église vivante pour mieux le connaitre par sa parole, (3) rechercher la VRAIE conversion, par une vie de repentance. Toutes ces étapes bien suivies te permettront d’avoir une FOI plus grande, qui t’assurera toutes les bénédictions de Dieu et le Salut de ton âme. (Lire les journaux sur la repentance, sur le baptême d’eau …etc.)
REPONSES AUX QUELQUES QUESTIONS QU’ON PEUT SE POSER
Pourquoi Le Seigneur s’est-il révélé à une musulmane plutôt qu’à une chrétienne?
REPONSE A : Dieu n’est pas seulement celui des chrétiens, mais CELUI de toute l’humanité. Et donc la mort de Christ sur la croix et toutes ses grâces sont tout aussi valables : pour le bon comme le méchant ; pour celui qui le prie comme celui qui ne le prie pas ; pour le Chrétien, le musulman, le brigand, le sorcier…etc.
« Alors vous serez fils de votre Père qui est dans les cieux, car il fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons, et il fait pleuvoir sur les justes et sur les injustes. » Math 5v45
Dans la bible nous avons beaucoup de cas où JESUS a secouru des milliers de personnes, sans tenir compte de leur race ou de leur vie ou de leur appartenance religieuse. Des personnes qui n’ont jamais été dans une Eglise, qui ne savaient rien de sa Parole, IL leur a répondu simplement à cause de la manifestation de leur Foi. La Foi fait partir des « GRACES UNIVERSELLES » que le Seigneur fait à quiconque croit en son NOM et l’invoque dans sa détresse. Cependant il existe des « PROMESSES » liées uniquement la marche chrétienne.
REPONSE B : La bonne attitude dans la souffrance attire la faveur de Dieu. Dieu entend le cri et voit la souffrance de tous les opprimés (Ps 9v10/ 68v6-7/146v7-9) .Mais IL répond généralement qu’à Ceux qui surmontent leur mal par le bien (Rom 12v21 / 1Pi 2v15,18-21 / Jac 1v2-3 / Mat 5v11-12) .Lorsque dans la souffrance nous proférons des menaces, des accusations, des injures, des murmures ,ou nous cédons au découragement, à la colère, à la vengeance, à la révolte , à l’insoumission…etc. satan s’en sert pour nous accuser devant Dieu.
Ceci explique pourquoi beaucoup ne sortent pas de leur situation de souffrance malgré leurs jeûnes et prières, à l’exemple du peuple d’Israël qui au lieu de 40 jours a passé 40ans pour traverser le désert, à cause de sa mauvaise conduite dans ses souffrances. Car Dieu en effet regarde d’abord à l’attitude du cœur avant d’approuver ou désapprouver nos prières ou offrandes (Gé 4 v3-5 Il porta d’abord les regards sur Abel avant son offrande /2 cor 8v5 /Mat 23v23).
Cette dame bien que étant pas chrétienne a su bien se conduire comme Dieu le demande dans sa parole. Donc Dieu a vu son cœur, puis s’est penché sur ses souffrances pour la secourir et la bénir.
REPONSE C : Dieu récompense ceux qui se réjouissent dans leurs souffrances.
« Heureux serez-vous, lorsqu’on vous outragera, qu’on vous persécutera et qu’on dira faussement de vous toute sorte de mal, à cause de moi. Réjouissez-vous et soyez dans l’allégresse, parce que votre récompense sera grande dans les cieux… » Matt 5v11-12 / Jac 1v2-3 / Job1v21 / Rom 8 v28.
La souffrance fait partir de la vie des hommes, mais sa résolution est conditionnée par la manière de se tenir. Dieu se sert de la bonne attitude que nous tenons dans nos souffrances pour les transformer en des récompenses.
Mme Ouattara a subit une telle humiliation que aucune femme n’aurait voulu supporter. La réjouissance dans les afflictions donne la force de les supporter, de bien se conduire, d’excuser tout mal afin de ne pas se mettre en colère ou mal agir envers ses persécuteurs (Jac 1v20).
Le degré de souffrance qu’un homme connait dans sa vie est souvent lié à son élévation ou sa destinée, il est donc important de bien apprécier ses souffrances pour mieux les surmonter pour atteindre ce que Dieu nous à réserver . A l’exemple de Joseph (Gé 45v4-5), d’Isaac chez Abimélec (Gé 26v12-30), de Job (Job 1v8-22 ; 42 v10-16), de notre Seigneur Jésus-Christ Jésus-Christ (satan voulait l’exterminer dès l’enfance à cause de ce que son Etoile était grande, (sa destinée); sur, la croix satan avait cru gagner or cela a contribué à son élévation à la droite du Père)
Qu’est ce qui prouve que ce témoignage est vrai ?
– Dans la bible Le Seigneur s’est aussi révélée à certaines personnes qui n’avaient jamais entendu parler de LUI auparavant (Jn 5v1-13).
– Cette Dame bénissait Dieu pour ses souffrances afin de mieux les supporter et bien réagir, ce qui est biblique (Job1v21 /Mat 5v11-12 / Jac 1 v2-3 / Rom 8 v28 / 1Pi 2v19).
– Cette Dame a suivi l’exemple de Jésus, ne rendant pas le mal par le mal (1 Pi 2v21-23 / Rom 12v14, 20-21).
– Cette Dame était soumise à son mari en toute chose malgré son caractère et son comportement, conforment à la bible (1Pi3v1 / 1Pi 2v18 /Eph5v24).
– La résurrection du jeune homme à la morgue par son pied qu’elle a heurté est biblique (1 Roi 5 v20-21).
– La grande Foi de cette Dame justifie ses résurrections conformément à la parole de Dieu, car la Foi nous donne accès non seulement à toutes les grâces mais nous confère la puissance inimaginable de Dieu ici bas. La Foi produit des résultats extraordinaires (Jn 14v12).
– Ce témoignage est vrai, parce que ces différents miracles ont entrainé la conversion de plusieurs. Car le but des miracles du Seigneur Jésus dans la bible était de briser l’incrédulité, susciter la Foi en Dieu et entrainer des conversions à Dieu.
– Ce témoignage est vrai, parce qu’à la fin nous sommes encouragés à faire une expérience personnelle avec CHRIST, plutôt que de désirer avoir l’adresse de celle qui l’a rendue. Car cette dame s’est effacée en le rendant. Aujourd’hui Christ est mal prêché car IL sert de couvert pour atteindre nos objectifs personnels .Les témoignages, prédications , miracles sont manipulés, donc ne conduisent plus à une véritable maturité et rencontre personnelle avec CHRIST. Les raisons, nous faisons plus notre promotion que celle de CHRIST. Nous recherchons plutôt des adeptes que leur conversion à CHRIST. Nous prêchons notre prestige, nos leaders, notre ministère, notre communauté chrétienne, fustigions et dénigrons les autres milieux, tout cela pour gagner le plus d’adeptes.
Nous, nous substituons au Seigneur et volons sa Gloire, pour les œuvres qu’IL opère à travers nous. .L’Evangile pur, s’est de présenter essentiellement la Mission de CHRIST et les Caractères de sa personnalité à emprunter dans notre vie quotidienne. Sans y ajouter nos options ou attirer l’auditoire à s’intéresser à notre personne. C’est l’Evangile pur qui amène la véritable foi, conversion, maturité, délivrance, Salut, discernement… Etc. Il est important de rappeler que l’Evangile et toutes vérités bibliques s’annoncent dans la paix et la charité (Eph 4v15) .Prescriptions que certains se voyant tellement éclairer ou être dans la vérité ou trop spirituel, se permettent tout.
QUELQUES SUJETS DE PRIERES
- Prions que le Seigneur brise toute incrédulité et qu’IL vienne au secours de notre Foi (Marc 9v23-24).
- Prions que le Seigneur nous donne de faire une expérience personnelle de FOI avec LUI (Jn14v12).
- Prions que le Seigneur nous donne d’être un instrument entre ses mains (Rom 6v 13, Ac 9v 15).
- Prions que le Seigneur nous rempli de Foi (Eph 5 v18).
- Prions que le Seigneur vienne au Secours de tous ses enfants en difficulté (1 Pi 5 v9 ; 1Pi 4 v 1-5).
- Remercions le Seigneur qui nous a permis de recevoir ce merveilleux témoignage et ses enseignements.
Que le Seigneur vous bénisse abondamment !